Voici un texte "hors sujet", mais tant pis. Sur la musique de la chanson de Jean Ferrat , j'ai transposée des paroles pour rendre hommage au personnel soignant ( ancienne infirmière oblige..!)
Chantez la tout "colle". Qu'on se le dise!
A V O U S
---------------
Vous étiez vingt et cent vous étiez des milliers,
Médecins infirmières et ambulanciers,
Ils étaient la pour nous la nuit la journée,
Côtoyant tous sans peur le monstre dévoilé.
Vaillamment chaque matin ils prenaient le chemin
De leur rude labeur, oh combien incertain,
Leur courage bravant face a face le destin,
Nous empêchant souvent de connaitre...la Fin.
Certains parfois se perdaient sur la route,
Ce virus assassin semant partout le trouble
Un a un vous tombiez terrassés par la foudre,
Mais déjà beaucoup d'autres reprenaient tout en main.
Ils s'appelaient Jean, Marc Ali ou Sophie,,
Toutes les religions du monde réunies,
Associées a tous ceux qui ne priaient pas,
Ils ne formaient plus qu'un uni contre toi.
Hommes et femmes du monde entier,
Tous conjurés devant l'adversité,
Ils étaient décidés a tous nous sauver,
Ne sachant si eux mêmes seraient épargnés.
Offrant leurs mains tendues a celles qui partaient,
D'un regard de tendresse effaçant la faiblesse,
Un mot tendre d'amour pour toute caresse
Ils donnaient a la mort un peu moins de tristesse.
Mais viendra bientôt le jour tant espéré,
Celui ou l'horreur sera toute effacée,
Dans un geste d'amour qui ne cessera pas
Nous pourrons enfin, vous ouvrir grand nos bras!
Ils étaient vingt et cent ils étaient des milliers,
Bonjour
Voici un texte "hors sujet", mais tant pis. Sur la musique de la chanson de Jean Ferrat , j'ai transposée des paroles pour rendre hommage au personnel soignant ( ancienne infirmière oblige..!)
Chantez la tout "colle". Qu'on se le dise!
A V O U S
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Vous étiez vingt et cent vous étiez des milliers,
Médecins infirmières et ambulanciers,
Ils étaient la pour nous la nuit la journée,
Côtoyant tous sans peur le monstre dévoilé.
Vaillamment chaque matin ils prenaient le chemin
De leur rude labeur, oh combien incertain,
Leur courage bravant face a face le destin,
Nous empêchant souvent de connaitre...la Fin.
Certains parfois se perdaient sur la route,
Ce virus assassin semant partout le trouble
Un a un vous tombiez terrassés par la foudre,
Mais déjà beaucoup d'autres reprenaient tout en main.
Ils s'appelaient Jean, Marc Ali ou Sophie,,
Toutes les religions du monde réunies,
Associées a tous ceux qui ne priaient pas,
Ils ne formaient plus qu'un uni contre toi.
Hommes et femmes du monde entier,
Tous conjurés devant l'adversité,
Ils étaient décidés a tous nous sauver,
Ne sachant si eux mêmes seraient épargnés.
Offrant leurs mains tendues a celles qui partaient,
D'un regard de tendresse effaçant la faiblesse,
Un mot tendre d'amour pour toute caresse
Ils donnaient a la mort un peu moins de tristesse.
Mais viendra bientôt le jour tant espéré,
Celui ou l'horreur sera toute effacée,
Dans un geste d'amour qui ne cessera pas
Nous pourrons enfin, vous ouvrir grand nos bras!
Ils étaient vingt et cent ils étaient des milliers,
Médecins infirmières et ambulanciers,
Ils étaient la pour nous la nuit, la journée,
Côtoyant tous sans peur le monstre dévoilé.
Suzanne Trève.