L'état payera tout ! Disait ce président. Sûrement à coup de réformes ou autres amendements qui nous rendront encore plus pauvres. S'il y a une chose que je retiens ces jours-ci, c'est que la vie ne nous épargnera pas. Jamais ! Alors, le coup de l'état payera tout... J'ai finalement du mal à y croire. Un pété pour un vomi en somme. Souveraineté en période de confinement? Je pense plus à un état mendiant où le peuple, toujours à bout de souffle, devrait encore faire des efforts pour gérer une économie, elle-même a bout de souffle, abasourdi par un virus qui puise ses ressources on ne sait où. Comment ne pas être interpellé par ses discours incessants, lui qui pense régner dans une cour d'à peine 20 % des sondages exprimés ? C'est là que le bas blesse... Lui qui pense être ce que la France attend. Désolé Monsieur le Président, je n'attends rien de vous et de vos comparses, qui ne mentent que pour servir une république en marche arrière. Avez-vous pensé à ceux que vous érigez en héros aujourd'hui ? Bien loin de vos viles menaces économiques ? Avez-vous vous pensé à leurs familles, qui finalement sont si loin de votre politique budgétaire ? Il y a des femmes, des hommes, qui aujourd'hui se battent sans ressources face à cette pandémie. Une pandémie qui pourrait un jour vous frapper de plein fouet Monsieur. Elle s'appelle la colère des moins-que-rien.
J’entends des voix qui me disent : « facile à dire ! »
Oui, mais autant essayer, non ?
Qui ne tente rien n’obtient rien !
Dans des situations difficiles, une solution peut se profiler à l’horizon…
Nous avons tous des trésors enfouis, cachés au fond de soi, des ressources intérieures insoupçonnées qui apparaissent au bon moment quand on en a besoin.
Une source peut jaillir alors que l’on se voyait au fond du trou et alors, une lueur d’espoir apparaît.
Dans les difficultés, l’homme pense pouvoir supporter, tolérer jusqu’à un certain seuil alors qu’il est en fait, plus fort qu’il ne le croit !
L’amende fait partie des ressources pour contraindre le récalcitrant pauvre à respecter le confinement. Le débrouillard est une personne pleine de ressources. La rente, l’indemnité, l’arme, les moyens de subsistance, les masques, mais aussi les sourires sont des ressources.
Ressources humaines, c’est un service dans l’entreprise, sa mission est de fournir du personnel motivé (efficace, rapide, disponible, flexible), compétent (autonome dans le cadre stricte de sa fonction et du respect du protocole), sociable (heureux d’effectuer sa tâche tout en ayant un bon esprit d’équipe).
Pénurie ! Pénurie de masques, l’exécutif (cette entité composée d’hommes et de femmes pleins de ressources) communique sur l’absence de ressource : ce n’est pas utile, restez confinés ! Sur l’absence de test : ce n’est pas utile, au début peut-être, mais maintenant non ! Ce qui est important, c’est de nous raconter une belle histoire, tout est dans la communication. Nous sommes en guerre, mais seulement une guerre de communication, où l’ennemi invisible est un miroir qui renvoie à l’orateur ses paroles. La réalité est que des soignants, des travailleurs au contact du public ont été exposés, que certains sont morts, que nous ne voulons pas qu’ils meurent en héros, mais qu’ils puissent faire leur travail en toutes sécurités.
Ressources
Res-(te) chez toi.
Sour (d) et surtout muet pour ne pas postillonner.
Ours. C’est ce que je deviens.
Source, je rêve d’y puiser.
Ressort : Il nous en faudra.
Ressources : On n’en manque pas
Job le 04 04 2020
L'état payera tout ! Disait ce président. Sûrement à coup de réformes ou autres amendements qui nous rendront encore plus pauvres. S'il y a une chose que je retiens ces jours-ci, c'est que la vie ne nous épargnera pas. Jamais ! Alors, le coup de l'état payera tout... J'ai finalement du mal à y croire. Un pété pour un vomi en somme. Souveraineté en période de confinement? Je pense plus à un état mendiant où le peuple, toujours à bout de souffle, devrait encore faire des efforts pour gérer une économie, elle-même a bout de souffle, abasourdi par un virus qui puise ses ressources on ne sait où. Comment ne pas être interpellé par ses discours incessants, lui qui pense régner dans une cour d'à peine 20 % des sondages exprimés ? C'est là que le bas blesse... Lui qui pense être ce que la France attend. Désolé Monsieur le Président, je n'attends rien de vous et de vos comparses, qui ne mentent que pour servir une république en marche arrière. Avez-vous pensé à ceux que vous érigez en héros aujourd'hui ? Bien loin de vos viles menaces économiques ? Avez-vous vous pensé à leurs familles, qui finalement sont si loin de votre politique budgétaire ? Il y a des femmes, des hommes, qui aujourd'hui se battent sans ressources face à cette pandémie. Une pandémie qui pourrait un jour vous frapper de plein fouet Monsieur. Elle s'appelle la colère des moins-que-rien.
Christophe Gosselin
RESSOURCES
Ayons confiance en nous, positivons…
J’entends des voix qui me disent : « facile à dire ! »
Oui, mais autant essayer, non ?
Qui ne tente rien n’obtient rien !
Dans des situations difficiles, une solution peut se profiler à l’horizon…
Nous avons tous des trésors enfouis, cachés au fond de soi, des ressources intérieures insoupçonnées qui apparaissent au bon moment quand on en a besoin.
Une source peut jaillir alors que l’on se voyait au fond du trou et alors, une lueur d’espoir apparaît.
Dans les difficultés, l’homme pense pouvoir supporter, tolérer jusqu’à un certain seuil alors qu’il est en fait, plus fort qu’il ne le croit !
Isabelle M-L
Comme si de rien n'était
le printemps pousse ses bourgeons
commence à réciter
toutes les nuances du vert
du plus tendre au plus profond
Comme si de rien n'était
l'aubépine éclate de blancheur
les pommiers se parent
de promesses savoureuses
les fleurs des champs se haussent
sur la ponte des pieds
pour regarder le soleil
comme si de rien n'était
l'eau des rivières s'étire
en danse transparente
en coulées de lumière
assignés à résider dedans
à ne plus voir le dehors
sans raisonnable méfiance
enfermés dans le décor
habitants de l'habitude
avec le chagrin qui rôde
l’inquiétude qui taraude
mine de rien
le temps se mine
s'interroge
Qui viendra à la rescousse ?
Où sont nos vraies ressources ?
Qu' y a-t-il dedans ?
Gérard T
Ressources
L’amende fait partie des ressources pour contraindre le récalcitrant pauvre à respecter le confinement. Le débrouillard est une personne pleine de ressources. La rente, l’indemnité, l’arme, les moyens de subsistance, les masques, mais aussi les sourires sont des ressources.
Ressources humaines, c’est un service dans l’entreprise, sa mission est de fournir du personnel motivé (efficace, rapide, disponible, flexible), compétent (autonome dans le cadre stricte de sa fonction et du respect du protocole), sociable (heureux d’effectuer sa tâche tout en ayant un bon esprit d’équipe).
Pénurie ! Pénurie de masques, l’exécutif (cette entité composée d’hommes et de femmes pleins de ressources) communique sur l’absence de ressource : ce n’est pas utile, restez confinés ! Sur l’absence de test : ce n’est pas utile, au début peut-être, mais maintenant non ! Ce qui est important, c’est de nous raconter une belle histoire, tout est dans la communication. Nous sommes en guerre, mais seulement une guerre de communication, où l’ennemi invisible est un miroir qui renvoie à l’orateur ses paroles. La réalité est que des soignants, des travailleurs au contact du public ont été exposés, que certains sont morts, que nous ne voulons pas qu’ils meurent en héros, mais qu’ils puissent faire leur travail en toutes sécurités.
3 avril 2020 - André